Le vétérinaire nous a dit que notre Fanfounet est vraisemblablement un maincoon. En tous cas, il en a l'aspect avec sa grande taille -1 mètre de long (mesuré du museau jusqu'au bout de la queue)- et son poids -8 kg-!!!!

Trisha Romance

"Enfant, le père noël est ce gentil bonhomme qui distribue des cadeaux aux enfants sages.
Adulte, le père noël n'est autre que le symbole représentatif de la magie de la vie..."

                                                      Coco de la Plume

J'ai trouvé cette recette sur le blog de Cocopassions. Excellent mariage!!!

Ingrédients (pour 4 personnes)
2 pommes
5 carambars coupés en morceaux
80 gr de farine
40 gr de poudre d'amande
80 gr de beurre mou
50 gr de sucre

Préparation
Préchauffez le four à th.6 (180°).

Cassez les barres de carambars en morceaux.

Epluchez et coupez les pommes en dés. Déposez la valeur d'une moitié de pomme dans les 4 ramequins.

Dans un saladier, versez la farine, le sucre, la poudre d'amande et le beurre mou. Pétrir jusqu'à l'obtention d'une pâte grumeleuse puis ajouter les carambars et pétrir à nouveau.

Mettre de la pâte sur les pommes.

Couvrir les ramequins de papier aluminium et les glisser dans le four chaud pendant 15 minutes.
Au bout de ce temps, ôter l'aluminium et poursuivre la cuisson encore 15 minutes.

Pendant que Caro travaille, le chat fait un câlin

J'adore les animaux de Caro. Les chiens font des câlins aux chats, les chats font des câlins aux peluches, des poules élèvent des canards, les cochons du voisin viennent lui rendre visite.... Bref, on pourrait faire un roman de ce qui se passe chez l'amie Caro!!!!!!

Les chatons font un câlin à Poupette


Un câlin serré entre Poupette et les chatons

Aujourd'hui, je vais vous présenter certaines œuvres d'une artiste. Son univers me captive et ce n'est pas parce qu'elle est bordelaise comme moi, ni parce qu'elle est née en 65, comme moi.

Lorsque je regarde les réalisations de MISS CLARA, j'y vois une part de mon enfance. C'est le mélange entre l'imaginaire et la réalité de l'enfance.

Le souvenir d'un parquet, d'une scène, de costumes, de couleurs, d'un rideau rouge passé, d'une agitation et de rires nerveux. Les coulisses d'un théâtre, des ombres qui s'enfuient, légères, derrière les décors sombres d'une autre histoire.

Enfant, j'allais me promener et courir sur un chemin. C'était un endroit étrange. Une large et longue allée terreuse bordée d'arbres, en pente raide. Au bout de ce chemin, en contre bas, il y avait un haut et vieux portail qui donnait sur un immense jardin. Je restais de longs moments accrochée à ce portail à observer le moindre mouvement. Il était interdit d'entrer. Pourquoi?

Mon enfance, c'est aussi cette vieille demeure abandonnée près de chez nous. Un volet cassé nous permettait de voir l'intérieur. Personne ne vivait là et jamais personne ne venait lui rendre vie. Sur la pointe des pieds, ma sœur et moi regardions par l'interstice d'un volet cassé. C'était une chambre, plongée dans la pénombre et nous scrutions cette pièce dans ses moindre détails.

Qu'avons-nous vu à part l'irréel? Un lit, l'ombre d'une longue robe sombre et une grande cheminée de marbre.

Etre une princesse. Voilà le rêve de beaucoup de petites filles de l'époque. Dans la nuit du 24 au 25 décembre 1973, mes parents ont passé leur nuit à réaliser une robe de princesse. Une jolie robe bleue et blanche qui ressemblait étrangement à cette création de Miss Clara. Mon père faufilait, ma mère cousait et les enfants dormaient...

 Entre le rêve et la réalité. J'ai tellement cru au père noël que j'en suis restée marquée et chaque année, j'y crois encore....

Une nuit de noël, j'ai fait un rêve aussi étrange que merveilleux. C'était la pleine lune et les étoiles filantes faisaient un véritable ballet. Comme à l'opéra. C'était une véritable pluie d'étoiles. Toutes ces étoiles faisaient un spectacle pour une unique spectatrice, la lune. Et moi, je regardais sans y être invitée. Je me trouvais là par hasard....

Arradon

Yann est parti naviguer pendant 4 jours. La mer, c'est une longue histoire de famille, un amour transmis de père en fils. Il part en solitaire et ses départs ressemblent à des rendez-vous. Il part à la rencontre de ses pères car s'ils sont ailleurs aujourd'hui, il sent qu'il y a de fortes chances pour qu'une partie d'eux soit restée là, quelque part sur l'onde.

Il s'est baladé sur le Golfe du Morbihan et a parcouru des îles comme Belle-île, Groix... Il s'est arrêté dans certains ports comme les ports de Croesty, Lorient pour boire un verre et regarder la mer. Ses journées commençaient de très bonne heure et finissaient très tard.

Lorsque mon solitaire part en mer, il ne porte jamais de montre et il subit un décalage horaire lorsqu'il revient près de moi.

Un jour, je partirai avec lui...

Phare de la pointe des poulains -Belle île-

Er Lannic et les chomlec'h


Un cormoran sur la "truie d'Arradon"

Pointe sud, sortie du Golfe

Paul Poiret est le couturier à la mode des années allant de 1900 à 1930 (environ). Aujourd'hui, il est considéré comme le précurseur du style Art Déco.

C’est lui qui a inventé le turban orné d’une aigrette, la jupe culotte. Il a remis au goût du jour le style Empire avec des robes  longues, amples mais serrées sous la poitrine. Il supprime le port du corset et plus tard, inventa la gaine souple.

Ce que j’aime avant tout chez Paul Poiret, ce sont ses manteaux.

Le manteau ci-dessus se nomme "la Perse". Il est en velours de coton et a été confectionné en 1911. Le décor a été dessiné, gravé sur bois et imprimé par le peintre Raoul Dufy avec qui Paul Poiret travailla beaucoup.

Comme pour la musique, j’aime lorsqu’un ensemble (lorsque je parle d'"ensemble", je parle des vêtements portés de la tête aux pieds) possède des inspirations venues d'ici et d'ailleurs. Qu'il y ait de subtiles influences d'Europe, d'Afrique, d'Asie... voire même, déceler différentes époques. Une sorte de "tout en un" dans un même ensemble. Pas facile à réussir!!!

Le choix du tissus et des imprimés sont essentiels pour qualifier un manteau. Mais le choix de la doublure est, pour moi, tout aussi important....